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Mise à jour le : 21/06/2023
Le porteur d’un projet de recherche initié par un laboratoire ou le doctorant qui débute une thèse est tenu, dès lors qu’il engage un traitement de données à caractère personnel, de faire procéder à l’instruction du dossier concernant ces travaux.
Ces démarches constituent une obligation réglementaire, nécessitant l’accompagnement du projet.
Quatre questions peuvent permettre d’orienter la démarche et la détection des cas où le projet est concerné par le Règlement général sur la protection des données. Si la réponse à la première question est positive, il faut s’assurer que les travaux envisagés sont conformes à la législation sur les données à caractère personnel.
La Direction de la recherche et de la valorisation est l’interlocuteur unique pour l’instruction des projets de recherche portés par les laboratoires et les thèses (à l’exception des thèses d’exercice en médecine) à l’occasion desquels des données personnelles font l’objet de traitements. La DRV instruit le dossier et assiste les porteurs de projets (laboratoires, doctorants) pour leur mise en conformité.
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Dans le cadre d’un projet de recherche, d’une thèse ou d’un mémoire qui suppose un traitement de données à caractère personnel, il convient de s’assurer de la pleine conformité du projet aux textes en vigueur.
Pour cela, il convient de :
Cela se traduira par la détermination :
Le protocole de recherche, à joindre au dossier, est essentiel. Il faut également joindre toutes les conventions qui ont été passées ou décrire les partenariats envisagés pour connaître les tiers impliqués dans le projet.
Pour chacun des projets, il faut:
Dès que des personnes physiques acceptent de participer à un projet de recherche ou que le projet réutilise des données concernant des personnes physiques, celles-ci devront être informées du projet, que ce soit via une mention d’information dans un questionnaire ou bien via une notice dédiée.
Cette information devra indiquer aux personnes concernées :
Un modèle de notice d’information répondant aux exigences est disponible.
Outre qu’il s’agit d’une obligation légale, la protection des données à caractère personnel va de pair avec la politique de protection du patrimoine scientifique et technique de la nation (PPST). Cela signifie que les données personnelles traitées, comme les travaux scientifiques dans leur globalité, doivent être protégés de tout risque de compromission.
A cette fin, dans toute recherche, le respect des règles visant la sécurité des données fait l’objet d’un examen lors de l’instruction du dossier ; ils sont visés dans le questionnaire initial de renseignement et dans le document permettant de réaliser une analyse d’impact. Il s’agit des moyens matériels, organisationnels et informatiques mis en œuvre. Tout porteur de projet est invité à respecter les dispositions de la Charte informatique de l’Université de Bordeaux ainsi que le Guide des bonnes pratiques en matière d’utilisation des outils informatiques.
En cas de traitement de données sensibles, il est possible qu’il faille procéder à une analyse d’impact. Un accompagnement de cette démarche sera réalisé lors de l’instruction du dossier. Il faut alors se référer au formulaire d’analyse d’impact.
Un projet de recherche mené par un laboratoire peut nécessiter une contractualisation (accord de consortium / partenariats divers). Une simple recherche peut aussi passer par une convention (établissement fournisseur de données).
Dans tous les cas, il faut s’assurer que le co-contractant, par le biais de dispositions contractuelles, s’engage au respect plein et entier de la règlementation concernant les données personnelles et garantisse l’Université de Bordeaux à cet égard. L’instruction du dossier oblige à vérifier l’état de ces conventions et aboutit, le cas échéant, à la rédaction d’annexes ou avenants consacrés aux données personnelles. Il est demandé de fournir, lorsqu’ils existent, les contrats afférents à la recherche qui ont déjà été conclus.
La conformité au Règlement général sur la protection des données ne dispense pas de respecter d’autres dispositions. Selon le domaine scientifique, il faudra potentiellement témoigner d’une conformité à d’autres législations, comme par exemple celles relevant du Code de la santé publique pour les recherches impliquant la personne humaine.